Titre : Album de statistique graphique / Ministère des travaux publics. Direction des cartes, plans et archives de la statistique graphique
Auteur : France. Ministère des travaux publics (1869-1906). Direction des cartes, plans et archives et de la statistique graphique. Auteur du texte
Éditeur : Impr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1881-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326850921
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 juillet 1881 01 juillet 1881
Description : 1881/07/01 (T1)-1881/07/31. 1881/07/01 (T1)-1881/07/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : de la statistique... Collection numérique : Corpus : de la statistique graphique à la data visualisation
Description : Collection numérique : Thématique :... Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales
Description : Collection numérique : Bibliothèque de la... Collection numérique : Bibliothèque de la statistique publique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5255805b
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, Fol.26349/Fol.29172
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/01/2024
vi ALBUM DE STATISTIQUE GRAPHIQUE DE 1881.
pour l’ensemble de chaque réseau. Afin d’y parvenir, on a partagé la France en sept régions correspondant
aux sept grands réseaux. Pour chacune de ces régions, on connaissait le nombre total des tonnes kilométriques
transportées tant sur les voies ferrées que sur les voies navigables de cette région. On a figuré ce mouvement
parla surface d’un cercle partagé en deux secteurs, diversement colorés, qui correspondent respectivement
aux deux éléments du tonnage total. Les rapports de grandeur de ces secteurs montrent immédiatement dans
quelle mesure ces deux catégories de voie concourent à ce genre de transport.
On constate ainsi que, dans la région attribuée au réseau du Nord, les voies navigables et ferrées se par-
taxent sensiblement le tonnage des houilles (42 p. o/o et 58 p. o/o), tandis que, dans la région du Midi, les
premières ne transportent que le onzième du total.
On a complété celte étude des transports de houille par le tracé des bandes relatives au petit cabotage de
l’Océan et de la Méditerranée. Ces bandes sont filiformes, et l’ensemble de leur surface est totalisée, pour
chacune des deux mers, par un petit cercle noir dessiné à la même échelle que les cercles régionaux. Enfin
on a placé sur la gauche de la carte un cartouche représentant, à la même échelle, l’ensemble des transports
des combustibles minéraux en 1879, par cabotage, par rails et par voies navigables.
Comparaisons historiques. — L’album précédent ne contenait que des planches consacrées au fait
actuel. Quelques critiques, d’ailleurs aussi bienveillantes que compétentes, le lui ont reproché et ont demandé
que désormais on réservât dans les albums une certaine place aux comparaisons historiques, qui montre
raient les variations des faits pendant une assez longue période en remontant dans le passé.
C’est pour satisfaire à cette observation que l’on a consacré les quatre dernières planches du premier
groupe à ces études rétrospectives.
Comparaison des principaux courants de transport en 1861 et 1879. — Les planches IV et V
comparent les courants de transport en 1861 et 1879, c’est-à-dire à dix-huit ans d’intervalle.
Pour faire une telle comparaison, on pouvait prendre un à un ces divers courants et rapprocher leurs va
leurs respectives à ces deux époques. On pouvait aussi grouper les courants qui suivent une même direction,
et les fondre en un courant unique, qui fût la résultante des courants partiels.
La première méthode est analytique; la seconde, synthétique. L’une montre les déplacements des courants
voisins et leurs réactions réciproques; l’autre néglige ces mouvements, pour ainsi dire intérieurs, et se préoc
cupe uniquement des variations du courant total, dans une direction déterminée. Les deux se commentent et
se complètent. Aussi les a-t-on mises successivement en œuvre pour la comparaison qu’on se proposait de
taire entre les années 1861 et 1879. La première méthode a servi à rédiger la planche IV; la seconde est ap-
pliquée à la planche V. Les deux planches sont d’ailleurs dressées sur le type des cartogrammes à bandes
figuratives, précédemment défini.
En vue d’éviter la confusion, on a dû s’en tenir aux courants de transport dans les principales directions,
et, laute de données assez précises, on a dû négliger ceux qui correspondent aux routes de terres, pour
s'occuper uniquement des transports par rail et par eau.
Les bandes représentant le tonnage moyen en 1861 et 1879 le long d’une voie déterminée ont été diffé-
renciées par la couleur, et juxtaposées. Seulement, tandis que, dans les autres planches, qui se rapportent à
une année unique, l’échelle adoptée a été uniformément de 1 millimètre de largeur de bande pour 100,000
tonnes, on a cru, au contraire, devoir réduire de moitié cette échelle pour une carte qui juxtapose deux an
nées distinctes. De cette manière, la largeur totale des deux bandes reste comparable à celle des plan
ches précédentes, et donne, mesurée à l’échelle ordinaire, la moyenne correspondant aux deux années 1861
et 1879.
Dans les dix-huit années comprises entre 1861 et 1879, le tonnage total est passé, en nombres ronds, de 7 à
1 2 milliards de tonnes kilométriques ; celui des voies navigables est resté sensiblement stationnaire (avec 10 p. 0/0
de réduction), tandis que celui des chemins de fer a absorbé toute la plus-value de la période.
La planche IV permet de suivre la répartition de cet énorme accroissement entre les divers courants
ALBUM DE STATISTIQUE GRAPHIQUE DE 1881. IX
partiels. Elle est complétée par la planche suivante, qui représente l’ensemble des courants groupés par di
rection.
La résultante a été calculée en ramenant à la longueur moyenne de la trajectoire des deux courants la somme
de leurs intensités respectives exprimées en tonnes kilométriques, de sorte que les bandes figuratives repré
sentent, pour chacune des deux années qu’il s’agit de comparer, le courant fictif équivalant à l’ensemble des
courants par rail et par eau, dont les tracés sont sensiblement parallèles et voisins.
Tonnage des voies navigables de 1855 à 1879 (pl. VI). —Cette planche figure, pour les principales
voies navigables et pour la période comprise de 1855 à 1879, les variations absolues et proportionnelles du
tonnage moyen de chacune d’elles. Seulement, au lieu de recourir au cartogramme à bandes figuratives, elle
est dressée sous la forme de « diagramme orthogonal », qui convient mieux aux comparaisons embrassant une
assez longue suite d’années.
On voit ainsi, à l’inspection de cette carte, que la concurrence des chemins de fer a été surtout préjudiciable
aux voies navigables les plus imparfaites, comme la Loire et le Rhône, mais quelle n’a pas arrêté l’accroisse
ment du tonnage sur les voies dotées de bonnes conditions de navigabilité.
Tonnage des chemins de fer de 1841 à 1879. — La même comparaison, toujours sous forme
de diagramme orthogonal, est faite pour les chemins de fer d’intérêt général sur la planche VIII, et s’étend
à la période de 1841 à 1879. Le tonnage est exprimé à la fois en tonnes effectives et en tonnes kilomé
triques.
La planche comprend deux diagrammes : le premier, celui de gauche, est affecté aux données absolues,
c’est-à-dire telles que les fournit la statistique; le second, au contraire, exprime ces mêmes données par rap
port à celles de 1860 prises pour unité.
Autres éléments de l’exploitation des chemins de fer. — Outre le tonnage, on a figuré sur les
mêmes diagrammes de la planche VIII, et par des procédés identiques, les autres éléments de l’exploita
tion des chemins de fer d’intérêt général de 1841 à 1879; à savoir : les recettes brutes kilométriques de
grande et de petite vitesse; les recettes totales absolues et par kilomètre; la recette moyenne kilométrique
par voyageur et par tonne; les dépenses kilométriques d’exploitation; le nombre annuel de voyageurs à toute
distance et à 1 kilomètre, enfin la longueur totale du réseau exploité à la fin de chaque année.
Le diagramme de droite permet d’apprécier l’allure respective des éléments en présence de part et d’autre
de l’année 1860, choisie pour terme de comparaison. On constate, par exemple, que le mouvement et les
recettes des marchandises se sont accrus plus vite que ceux des voyageurs ; que la recette kilométrique par
tonne et par voyageur a été constamment en s’abaissant, etc.
IL — Mouvement maritime.
(4 planches. — IX-XII.)
Mouvements des principaux ports français en 1879. — La planche IX exprime, pour chacun
des principaux ports de France, son mouvement maritime en 1879, à l’aide de deux demi-cercles de cou
leurs différentes, dont les surfaces sont respectivement proportionnelles au tonnage effectif et à la jauge
officielle.
Le tonnage effectif est, en général, inférieur au tonnage de jauge; pour l’ensemble des ports de France
en 1879, il en représente, à l’entrée, les 88 p. 0/0, et seulement le tiers à la sortie, à cause de la forte
proportion des sorties sur lest.
Dans le tonnage des marchandises, on a distingué, par des secteurs proportionnels teintés de nuances
différentes, le commerce extérieur et le cabotage.
pour l’ensemble de chaque réseau. Afin d’y parvenir, on a partagé la France en sept régions correspondant
aux sept grands réseaux. Pour chacune de ces régions, on connaissait le nombre total des tonnes kilométriques
transportées tant sur les voies ferrées que sur les voies navigables de cette région. On a figuré ce mouvement
parla surface d’un cercle partagé en deux secteurs, diversement colorés, qui correspondent respectivement
aux deux éléments du tonnage total. Les rapports de grandeur de ces secteurs montrent immédiatement dans
quelle mesure ces deux catégories de voie concourent à ce genre de transport.
On constate ainsi que, dans la région attribuée au réseau du Nord, les voies navigables et ferrées se par-
taxent sensiblement le tonnage des houilles (42 p. o/o et 58 p. o/o), tandis que, dans la région du Midi, les
premières ne transportent que le onzième du total.
On a complété celte étude des transports de houille par le tracé des bandes relatives au petit cabotage de
l’Océan et de la Méditerranée. Ces bandes sont filiformes, et l’ensemble de leur surface est totalisée, pour
chacune des deux mers, par un petit cercle noir dessiné à la même échelle que les cercles régionaux. Enfin
on a placé sur la gauche de la carte un cartouche représentant, à la même échelle, l’ensemble des transports
des combustibles minéraux en 1879, par cabotage, par rails et par voies navigables.
Comparaisons historiques. — L’album précédent ne contenait que des planches consacrées au fait
actuel. Quelques critiques, d’ailleurs aussi bienveillantes que compétentes, le lui ont reproché et ont demandé
que désormais on réservât dans les albums une certaine place aux comparaisons historiques, qui montre
raient les variations des faits pendant une assez longue période en remontant dans le passé.
C’est pour satisfaire à cette observation que l’on a consacré les quatre dernières planches du premier
groupe à ces études rétrospectives.
Comparaison des principaux courants de transport en 1861 et 1879. — Les planches IV et V
comparent les courants de transport en 1861 et 1879, c’est-à-dire à dix-huit ans d’intervalle.
Pour faire une telle comparaison, on pouvait prendre un à un ces divers courants et rapprocher leurs va
leurs respectives à ces deux époques. On pouvait aussi grouper les courants qui suivent une même direction,
et les fondre en un courant unique, qui fût la résultante des courants partiels.
La première méthode est analytique; la seconde, synthétique. L’une montre les déplacements des courants
voisins et leurs réactions réciproques; l’autre néglige ces mouvements, pour ainsi dire intérieurs, et se préoc
cupe uniquement des variations du courant total, dans une direction déterminée. Les deux se commentent et
se complètent. Aussi les a-t-on mises successivement en œuvre pour la comparaison qu’on se proposait de
taire entre les années 1861 et 1879. La première méthode a servi à rédiger la planche IV; la seconde est ap-
pliquée à la planche V. Les deux planches sont d’ailleurs dressées sur le type des cartogrammes à bandes
figuratives, précédemment défini.
En vue d’éviter la confusion, on a dû s’en tenir aux courants de transport dans les principales directions,
et, laute de données assez précises, on a dû négliger ceux qui correspondent aux routes de terres, pour
s'occuper uniquement des transports par rail et par eau.
Les bandes représentant le tonnage moyen en 1861 et 1879 le long d’une voie déterminée ont été diffé-
renciées par la couleur, et juxtaposées. Seulement, tandis que, dans les autres planches, qui se rapportent à
une année unique, l’échelle adoptée a été uniformément de 1 millimètre de largeur de bande pour 100,000
tonnes, on a cru, au contraire, devoir réduire de moitié cette échelle pour une carte qui juxtapose deux an
nées distinctes. De cette manière, la largeur totale des deux bandes reste comparable à celle des plan
ches précédentes, et donne, mesurée à l’échelle ordinaire, la moyenne correspondant aux deux années 1861
et 1879.
Dans les dix-huit années comprises entre 1861 et 1879, le tonnage total est passé, en nombres ronds, de 7 à
1 2 milliards de tonnes kilométriques ; celui des voies navigables est resté sensiblement stationnaire (avec 10 p. 0/0
de réduction), tandis que celui des chemins de fer a absorbé toute la plus-value de la période.
La planche IV permet de suivre la répartition de cet énorme accroissement entre les divers courants
ALBUM DE STATISTIQUE GRAPHIQUE DE 1881. IX
partiels. Elle est complétée par la planche suivante, qui représente l’ensemble des courants groupés par di
rection.
La résultante a été calculée en ramenant à la longueur moyenne de la trajectoire des deux courants la somme
de leurs intensités respectives exprimées en tonnes kilométriques, de sorte que les bandes figuratives repré
sentent, pour chacune des deux années qu’il s’agit de comparer, le courant fictif équivalant à l’ensemble des
courants par rail et par eau, dont les tracés sont sensiblement parallèles et voisins.
Tonnage des voies navigables de 1855 à 1879 (pl. VI). —Cette planche figure, pour les principales
voies navigables et pour la période comprise de 1855 à 1879, les variations absolues et proportionnelles du
tonnage moyen de chacune d’elles. Seulement, au lieu de recourir au cartogramme à bandes figuratives, elle
est dressée sous la forme de « diagramme orthogonal », qui convient mieux aux comparaisons embrassant une
assez longue suite d’années.
On voit ainsi, à l’inspection de cette carte, que la concurrence des chemins de fer a été surtout préjudiciable
aux voies navigables les plus imparfaites, comme la Loire et le Rhône, mais quelle n’a pas arrêté l’accroisse
ment du tonnage sur les voies dotées de bonnes conditions de navigabilité.
Tonnage des chemins de fer de 1841 à 1879. — La même comparaison, toujours sous forme
de diagramme orthogonal, est faite pour les chemins de fer d’intérêt général sur la planche VIII, et s’étend
à la période de 1841 à 1879. Le tonnage est exprimé à la fois en tonnes effectives et en tonnes kilomé
triques.
La planche comprend deux diagrammes : le premier, celui de gauche, est affecté aux données absolues,
c’est-à-dire telles que les fournit la statistique; le second, au contraire, exprime ces mêmes données par rap
port à celles de 1860 prises pour unité.
Autres éléments de l’exploitation des chemins de fer. — Outre le tonnage, on a figuré sur les
mêmes diagrammes de la planche VIII, et par des procédés identiques, les autres éléments de l’exploita
tion des chemins de fer d’intérêt général de 1841 à 1879; à savoir : les recettes brutes kilométriques de
grande et de petite vitesse; les recettes totales absolues et par kilomètre; la recette moyenne kilométrique
par voyageur et par tonne; les dépenses kilométriques d’exploitation; le nombre annuel de voyageurs à toute
distance et à 1 kilomètre, enfin la longueur totale du réseau exploité à la fin de chaque année.
Le diagramme de droite permet d’apprécier l’allure respective des éléments en présence de part et d’autre
de l’année 1860, choisie pour terme de comparaison. On constate, par exemple, que le mouvement et les
recettes des marchandises se sont accrus plus vite que ceux des voyageurs ; que la recette kilométrique par
tonne et par voyageur a été constamment en s’abaissant, etc.
IL — Mouvement maritime.
(4 planches. — IX-XII.)
Mouvements des principaux ports français en 1879. — La planche IX exprime, pour chacun
des principaux ports de France, son mouvement maritime en 1879, à l’aide de deux demi-cercles de cou
leurs différentes, dont les surfaces sont respectivement proportionnelles au tonnage effectif et à la jauge
officielle.
Le tonnage effectif est, en général, inférieur au tonnage de jauge; pour l’ensemble des ports de France
en 1879, il en représente, à l’entrée, les 88 p. 0/0, et seulement le tiers à la sortie, à cause de la forte
proportion des sorties sur lest.
Dans le tonnage des marchandises, on a distingué, par des secteurs proportionnels teintés de nuances
différentes, le commerce extérieur et le cabotage.
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