Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-07-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juillet 1857 10 juillet 1857
Description : 1857/07/10 (A2,N26). 1857/07/10 (A2,N26).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65306254
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 255
gnance pour les rais et les souris, ni pour la chair des singes
et des serpents. Le sea slug (limaçon de mer) est un plat aris-
tocratique et dispendieux dont on se passe malaisément, ainsi
que des nids d'hirondelles, dans un repas où l'on veut faire
honneur aux convives. Des canards et des poulets non éclos
forment un plat des plus délicats. Les premiers degrés de
putréfaction ne causent aucun dégoût, les œufs gâtés ne se
perdent point; le poisson le plus passé est le plus présentable,
parce qu'il peut alors donner un goût plus relevé au riz.
D De même que la nourriture des Chinois est peu coûteuse
et coriace, de même leurs boissons sont singulièrement éco-
nomiques. L'ivrognerie est un vice rare en Chine; on se sert
rarement de boissons fortés ou fermentées. On peut dire que
le thé est la boisson nationale et universelle, et bien que le
coût du thé employé par la masse ne s'élève pas à plus de
3 à 6 pences par livre, une infusion de feuilles moins coû-
teuses est en usage plus particulièrement dans les districts
éloignés des provinces qui produisent le thé. Les Chinois sont
très-sobres dans leur nourriture et pour leur boisson; ils se
contentent- de deux repas par jour : du riz à dix heures du
matin, et à cinq heures du soir, du riz. La seule répugnance
que j'aie remarquée chez les Chinois est pour l'usage du lait,
prévention étonnante si l'on considère l'influence tartare qui
a,i longtemps dominé dans le pays; mais je n'ai jamais su et
n'ai jamais vu sur la table d'un Chinois du beurre, de la
crème, du lait ou du petit-lait.
» Tandis que tant d'éléments de vitalité sont en un état si actif
pour la reproduction et le soutien de l'espèce humaine, il n'y
a probablement point de pays au monde où la mort exerce
des ravages plus effrayants qu'en Chine, et qui crée par là des
vides qui demandent autre chose que des moyens ordinaires
pour être comblés. Des masses d'êtres humains périssent par
un manque absolu de moyens d'existence ; des inondations
formidables détruisent des villes, des villages, et font périr
ceux qu'elles contiennent; il serait difficile d'évaluer les pertes
en hommes que causent les coups de vent et les ouragans qui
régnent souvent sur les côtes de Chine, et dans lesquels des
centaines et des milliers d'embarcations ou de jonques péris-
sent. Les dernières guerres civiles qui ont eu lieu en Chine
ont dû coûter la vie à des millions d'individus. Les exécutions
seules présentent un chiffre effrayant pour l'humanité. Au
moment où j'écris, on évalue à 4 et 500 le nombre des per-
sonnes qui tombent sous les coups du bourreau dans la pro-
vince de Kwan-tung-seulement. Du respect pour la vie humaine,
on n'en trouve point ; car il y a surabondance d'êtres humains.
On a si peu de vénération pour un cadavre, qu'on ne consi-
dère point comme convenable de l'enlever de l'endroit où il se
putréfie en plein air. J'ai vu souvent des cadavres sous la table
des brelandiers ; souvent j'ai foulé de mes pieds le cadavre
putréfié d'un individu placé au seuil d'une porte. Dans plik-
sieurs endroits de la Chine, il existe des tours bâties en bri-
ques ou en pierres, dans lesquelles des en fants de l'âge le plus
tendre, et plus particulièrement des petites filles , sont jetés
par une ouverture pratiquée dans un des murs. Il existe des
opinions différentes sur l'étendue de l'infanticide en Chine,
mais ce qui ne saurait être mis en doute, c'est que ce crime
est la règle dans plusieurs provinces. Un des écrivains les plus
éloquents des adversaires de l'infanticide, Kwei-Chung-Fu, dé-
clara avoir été spécialement inspiré par le cc Dieu de la littéra-
ture » pour supplier le peuple chinois de renoncer à ces usages
barbares et inhumains, et il déclare « que Dieu, en récompense
de ses-efforts, a comblé d'honneurs sa maison et lui a accordé
des descendants littéraires. » Malgré cela, il se borne à dire
que c'est un crime de la part de ceux qui peuvent les élever
de détruire leurs filles en bas âge, et plusieurs des arguments
qu'il emploie sont assez étranges à noter. « Détruire les
filles, dit-il, c'est se mettre en guerre avec l'accord établi par
les cieux" (dans l'égalité numérative des deux sexes); « plus
vous détruirez de filles, plus vous en aurez; et jamais l'on n'a
reconnu que la destruction des filles ait amené la. naissance
des garçons. » Il recommande d'abandonner les enfants à leur
sort sur le bord des routes comme moyen préférable à celui
de les noyer, et il ajoute. « L'on à vu des enfants ainsi exposés
être nourris et élevés par des tigres. » « Où serions-nous, s'é-
crie-t-il, si nos mères et nos grand'mères avaient été noyées
dans leur enfance ? 11 Et il cite deux exemples de la punition
infligée à deux mères qui avaient détruit leurs enfants. L'une
avait un serpent couleur de sang enroulé autour de sa cuisse,
et l'autre avait à l'extrémité de ses quatre membres des pieds
de vache. Le père Ripa mentionne le fait suivant : « Les jé-
suites baptisaient annuellement à Pékin 3,000 individus par
an. J'ai vu des marais qui servaient de réceptacles pour de
pauvres petites filles de l'âge le plus tendre, dont j'ai vu flotter
les cadavres à la surface de l'eau. »
» Il n'est point du tout extraordinaire de voir emporter à pe-
tites distances des villes des personnes dans un état complet
d'épuisement, auxquelles on laisse un vase contenant du riz,
et que l'on condamne à mourir de faim lorsque cette misé-
rable provision est épuisée. La mort et la vie semblent en
Chine, plus que dans toute autre région, être en perpétuelle
activité; les habitudes populaires, leurs traditions, l'enseigne-
ment des sages, tout donne une impulsion étonnante aux af-
fections de la famille. Une personne privée d'enfants est consi-
dérée comme malheureuse, pour ne point dire déshonorée. Les
moralistes chinois posent-comme principe que si une femme
ne donne point d'enfants à son mari, elle est tenue par ses
devoirs les plus sacrés d'aider et de palroner une concubine,
au moyen de laquelle le nom de son mari pourra se perpé-
tuer; et par là, lorsqu'il quittera le monde, des honneurs
funèbres pourront être rendus à ses cendres. Un des écrivains
les plus populaires de la Chine dit : « Il y a des femmes dans
le monde qui, n'ayant jamais eu d'enfants, s'opposent, même
lorsque leur mari a atteint l'âge de quarante ans, à l'introduc-
tion d'une concubine dans la maison conjugale, ou à celle d'une
domestique pour la continuation de sa race; elles regardent
cette personne de mauvais œil et avec des intentions malveil-
lantes. Hélas! ne savez-vous point combien le temps passe
vile? Étendez autant que vous le voudrez vos mois et vos an-
nées, et vous verrez qu'ils volent comme des flèches; et lors-
que l'ardeur matérielle de votre époux et la vigueur de son
sang seront épuisées , alors certainement il ne pourra plus
avoir d'enfants; et vous, sa compagne légitime, aurez ar-
rêté les sacrifices pour les ancêtres, et vous aurez mis un
terme à sa descendance; alors, le repentir, bien que vous
puissiez le témoigner de mille manières, viendra trop tard;
son corps mortel mourra, ses biens, que vous sa femme légi-
time aurez voulu conserver, ne reviendront point à ses en-
fants, mais seront le sujet de procès et de disputes entre des
multitudes de parents, et vous aurez fait tort non-seulement
à une personne, non-seulement à votre mari, mais encore
à vous-même; car qui aura soin de votre cercueil et de
votre tombe? Qui vous enterrera, qui offrira des sacrifices ?
Hélas! votre âme orpheline passere de longues nuits dans les
larmes. C'est douloureux d'y penser. Il y a quelques femmes
qui surmontent leurs sentiments jaloux et qui leur permettent
de prendre des concubines, mais elles le font sans (générQiité),
comme si elles avalaient du fiel ou huvaient du vinaigre; elles
se vengent de h concubine sur ceux qui lui sont attachés, il
gnance pour les rais et les souris, ni pour la chair des singes
et des serpents. Le sea slug (limaçon de mer) est un plat aris-
tocratique et dispendieux dont on se passe malaisément, ainsi
que des nids d'hirondelles, dans un repas où l'on veut faire
honneur aux convives. Des canards et des poulets non éclos
forment un plat des plus délicats. Les premiers degrés de
putréfaction ne causent aucun dégoût, les œufs gâtés ne se
perdent point; le poisson le plus passé est le plus présentable,
parce qu'il peut alors donner un goût plus relevé au riz.
D De même que la nourriture des Chinois est peu coûteuse
et coriace, de même leurs boissons sont singulièrement éco-
nomiques. L'ivrognerie est un vice rare en Chine; on se sert
rarement de boissons fortés ou fermentées. On peut dire que
le thé est la boisson nationale et universelle, et bien que le
coût du thé employé par la masse ne s'élève pas à plus de
3 à 6 pences par livre, une infusion de feuilles moins coû-
teuses est en usage plus particulièrement dans les districts
éloignés des provinces qui produisent le thé. Les Chinois sont
très-sobres dans leur nourriture et pour leur boisson; ils se
contentent- de deux repas par jour : du riz à dix heures du
matin, et à cinq heures du soir, du riz. La seule répugnance
que j'aie remarquée chez les Chinois est pour l'usage du lait,
prévention étonnante si l'on considère l'influence tartare qui
a,i longtemps dominé dans le pays; mais je n'ai jamais su et
n'ai jamais vu sur la table d'un Chinois du beurre, de la
crème, du lait ou du petit-lait.
» Tandis que tant d'éléments de vitalité sont en un état si actif
pour la reproduction et le soutien de l'espèce humaine, il n'y
a probablement point de pays au monde où la mort exerce
des ravages plus effrayants qu'en Chine, et qui crée par là des
vides qui demandent autre chose que des moyens ordinaires
pour être comblés. Des masses d'êtres humains périssent par
un manque absolu de moyens d'existence ; des inondations
formidables détruisent des villes, des villages, et font périr
ceux qu'elles contiennent; il serait difficile d'évaluer les pertes
en hommes que causent les coups de vent et les ouragans qui
régnent souvent sur les côtes de Chine, et dans lesquels des
centaines et des milliers d'embarcations ou de jonques péris-
sent. Les dernières guerres civiles qui ont eu lieu en Chine
ont dû coûter la vie à des millions d'individus. Les exécutions
seules présentent un chiffre effrayant pour l'humanité. Au
moment où j'écris, on évalue à 4 et 500 le nombre des per-
sonnes qui tombent sous les coups du bourreau dans la pro-
vince de Kwan-tung-seulement. Du respect pour la vie humaine,
on n'en trouve point ; car il y a surabondance d'êtres humains.
On a si peu de vénération pour un cadavre, qu'on ne consi-
dère point comme convenable de l'enlever de l'endroit où il se
putréfie en plein air. J'ai vu souvent des cadavres sous la table
des brelandiers ; souvent j'ai foulé de mes pieds le cadavre
putréfié d'un individu placé au seuil d'une porte. Dans plik-
sieurs endroits de la Chine, il existe des tours bâties en bri-
ques ou en pierres, dans lesquelles des en fants de l'âge le plus
tendre, et plus particulièrement des petites filles , sont jetés
par une ouverture pratiquée dans un des murs. Il existe des
opinions différentes sur l'étendue de l'infanticide en Chine,
mais ce qui ne saurait être mis en doute, c'est que ce crime
est la règle dans plusieurs provinces. Un des écrivains les plus
éloquents des adversaires de l'infanticide, Kwei-Chung-Fu, dé-
clara avoir été spécialement inspiré par le cc Dieu de la littéra-
ture » pour supplier le peuple chinois de renoncer à ces usages
barbares et inhumains, et il déclare « que Dieu, en récompense
de ses-efforts, a comblé d'honneurs sa maison et lui a accordé
des descendants littéraires. » Malgré cela, il se borne à dire
que c'est un crime de la part de ceux qui peuvent les élever
de détruire leurs filles en bas âge, et plusieurs des arguments
qu'il emploie sont assez étranges à noter. « Détruire les
filles, dit-il, c'est se mettre en guerre avec l'accord établi par
les cieux" (dans l'égalité numérative des deux sexes); « plus
vous détruirez de filles, plus vous en aurez; et jamais l'on n'a
reconnu que la destruction des filles ait amené la. naissance
des garçons. » Il recommande d'abandonner les enfants à leur
sort sur le bord des routes comme moyen préférable à celui
de les noyer, et il ajoute. « L'on à vu des enfants ainsi exposés
être nourris et élevés par des tigres. » « Où serions-nous, s'é-
crie-t-il, si nos mères et nos grand'mères avaient été noyées
dans leur enfance ? 11 Et il cite deux exemples de la punition
infligée à deux mères qui avaient détruit leurs enfants. L'une
avait un serpent couleur de sang enroulé autour de sa cuisse,
et l'autre avait à l'extrémité de ses quatre membres des pieds
de vache. Le père Ripa mentionne le fait suivant : « Les jé-
suites baptisaient annuellement à Pékin 3,000 individus par
an. J'ai vu des marais qui servaient de réceptacles pour de
pauvres petites filles de l'âge le plus tendre, dont j'ai vu flotter
les cadavres à la surface de l'eau. »
» Il n'est point du tout extraordinaire de voir emporter à pe-
tites distances des villes des personnes dans un état complet
d'épuisement, auxquelles on laisse un vase contenant du riz,
et que l'on condamne à mourir de faim lorsque cette misé-
rable provision est épuisée. La mort et la vie semblent en
Chine, plus que dans toute autre région, être en perpétuelle
activité; les habitudes populaires, leurs traditions, l'enseigne-
ment des sages, tout donne une impulsion étonnante aux af-
fections de la famille. Une personne privée d'enfants est consi-
dérée comme malheureuse, pour ne point dire déshonorée. Les
moralistes chinois posent-comme principe que si une femme
ne donne point d'enfants à son mari, elle est tenue par ses
devoirs les plus sacrés d'aider et de palroner une concubine,
au moyen de laquelle le nom de son mari pourra se perpé-
tuer; et par là, lorsqu'il quittera le monde, des honneurs
funèbres pourront être rendus à ses cendres. Un des écrivains
les plus populaires de la Chine dit : « Il y a des femmes dans
le monde qui, n'ayant jamais eu d'enfants, s'opposent, même
lorsque leur mari a atteint l'âge de quarante ans, à l'introduc-
tion d'une concubine dans la maison conjugale, ou à celle d'une
domestique pour la continuation de sa race; elles regardent
cette personne de mauvais œil et avec des intentions malveil-
lantes. Hélas! ne savez-vous point combien le temps passe
vile? Étendez autant que vous le voudrez vos mois et vos an-
nées, et vous verrez qu'ils volent comme des flèches; et lors-
que l'ardeur matérielle de votre époux et la vigueur de son
sang seront épuisées , alors certainement il ne pourra plus
avoir d'enfants; et vous, sa compagne légitime, aurez ar-
rêté les sacrifices pour les ancêtres, et vous aurez mis un
terme à sa descendance; alors, le repentir, bien que vous
puissiez le témoigner de mille manières, viendra trop tard;
son corps mortel mourra, ses biens, que vous sa femme légi-
time aurez voulu conserver, ne reviendront point à ses en-
fants, mais seront le sujet de procès et de disputes entre des
multitudes de parents, et vous aurez fait tort non-seulement
à une personne, non-seulement à votre mari, mais encore
à vous-même; car qui aura soin de votre cercueil et de
votre tombe? Qui vous enterrera, qui offrira des sacrifices ?
Hélas! votre âme orpheline passere de longues nuits dans les
larmes. C'est douloureux d'y penser. Il y a quelques femmes
qui surmontent leurs sentiments jaloux et qui leur permettent
de prendre des concubines, mais elles le font sans (générQiité),
comme si elles avalaient du fiel ou huvaient du vinaigre; elles
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