Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-08-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 août 1858 25 août 1858
Description : 1858/08/25 (A3,N53). 1858/08/25 (A3,N53).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203099r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
436 L'ISTHME DE SUEZ, MERCREDI 25 AOUT.
Sultan, les embarras profonds et nombreux qui les attendent
pour franchir l'espace maritime qui sépare cette dernière ville
de Djeddah. Le canal de Suez étant donné , les troupes em-
barquées à Constantinople s'en iraient tout droit débarquer
dans le port de la ville sainte. Cette leçon des événements ne
sera certainement point perdue pour le gouvernement turc.
Nous lui avons dit souvent que la conservation de sa puis-
sance sur l'Arabie, et spécialement sur les villes saintes, dé-
pendait d'une communication maintenue entre la Méditerra-
née et la mer Rouge. Aujourd'hui, personne ne douterait de
son pouvoir de faire justice, s'il pouvait directement expédier
ses flottes et ses soldats sur les points où ils sont appelés. Or,
la Porte ne peut point se faire illusion. Si elle ne châtie point
les coupables par elle-même, ils seront châtiés par la puis-
sance de l'Angleterre et de la France, et elle ne pourra pas
s'en plaindre.
» Pourtant ce serait un coup terrible porté à son prestige
dans ces contrées et une atteinte cruelle , quoique indispen-
sable dès lors , à sa souveraineté. Qu'elle ne se réserve point
pour l'avenir les embarras et les perplexités du présent;
qu'elle prenne à la fois conseil de son intérêt, de sa dignité et
de son indépendance. Quelle cesse de temporiser ; qu'elle
hâte au contraire et encourage de toute son initiative le per-
cement de l'isthme de Suez, et bientôt elle reprendra dans la
mer Rouge tout l'ascendant qu'elle y a si complétement perdu.
La circonstance est opportune, l'avertissement est éloquent, et
la présence de M. Ferdinand de Lesseps à Constantinople
achève de lui donner les moyens et les raisons propres à lui
faire prendre enfin une résolution dont l'urgence est désor-
mais écrite en traits de sang dans les massacres et les ou-
trages de Djeddah. »
Le Moniteur industriel du 12 août publie la lettre tout
entière de M. Stéphenson, et il la réfute dans un premier ar-
ticle, qui doit être suivi prochainement d'un second, destiné à
le compléter.
Le Moniteur industriel reproduit ensuite la lettre de M. Wil-
son au Times, que nous avons donnée nous-mêmes, pour
montrer comment M. Stéphenson est jugé en Angleterre.
Après cet article, M. P. B—s Darnis parle de la Décadence de
lord Palmerston, et il rapporte en preuve un passage du dis-
cours de M. Fox, membre du Parlement, à ses électeurs.
Enfin le Moniteur industriel reproduit l'article du Moni-
leur de la Flotte sur la réponse de M. Stéphenson à M. de
Négrelli, et de nouveaux renseignements sur les massacres de
Djeddah, d'après le Sémaphore de Marseille.
Le Moniteur industriel du 19 août annonce en termes gé-
néraux la réception de M. Ferd. de Lesseps à Odessa :
« La Russie, dit l'auteur, par ses autorités et ses popula-
tions les plus intelligentes, vient encore de s'associer plus
étroitement aux laborieux efforts du promoteur du canal de
Suez. On se rappelle que la Compagnie russe de navigation
à vapeur pour la mer Noire et la Méditerranée avait déjà of-
fert à cette entreprise un témoignage expressif de ses sympa-
thies, en lui accordant une réduction considérable sur les ma-
tériaux qu'elle ferait transporter dans l'isthme par les navires
de cette Compagnie. M. Ferd. de Lesseps a profité de son sé-
jour à Constantinople pour se rendre à Odessa, voulant étu-
dier par lui-même les sentiments de cette grande cité com-
merciale. Les détails de ce voyage nous manquent encore.
Nous savons seulement que notre courageux et infatigable
compatriote a rencontré à Odessa un accueil que n'efface pas
celui dont l'ont honoré tant d'autres villes européennes. Tout
ce que nous pouvons dire, c'est qu'il a recueilli dans ce grand
foyer du commerce russe, et des autorités officielles et des
habitants, les plus vifs témoignages de l'intérêt qu'ils portent
à son œuvre et du concours qu'ils sont résolus à lui donner.
Cette circonstance est loin d'être indifférente dans l'état ac-
tuel de la question. Elle achève de constater l'unanimité des
peuples et celle des gouvernements, si nous en exceptons les
faiblesses et les préjugés qui retiennent encore le cabinet
Derby. Mais comment, en présence de ce courant irrésistible
de l'opinion universelle, quelques hommes inconsistants ou ré-
trogrades pourraient-ils arrêter ce torrent qui veut marcher
vers la civilisation et vers la liberté véritable des échanges
internationaux? ) P. B-s DARNIS.
M. P. B-s Darnis consacre ensuite une seconde réfutation
à H M. R. Stéphenson devant l'opinion publique ; » puis il
annonce le travail de M. Paléocapa, en réponse à MM. Mac-
Clean, Ch. Manby et Stéphenson. Il reproduit l'article du
Siècle sur Cherbourg, dont nous donnons plus bas les pas-
sages les plus importants. Enfin le Aloniteur industriel publie
l'article du Moniteur de la Flotte en réponse à la brochure
de M. Spratt, que connaissent nos lecteurs.
Le Journal des Débats du 12 août rapporte les faux bruits
qui avaient couru à Alexandrie sur une insurrection prochaine
des Bédouins; puis il ajoute :
« A la date du 24 juillet, le commissaire spécial envoyé
par la Porte à Djeddah, pour procéder à une enquête sur les
événements dont cette ville a été le théâtre, venait d'arriver à
Alexandrie. On parlait déjà d'une conférence que le commis-
saire de la Porte avait eue avec le Vice-roi, et l'on assurait
que, sur la demande du Sultan, le Vice-roi devait envoyer un
bataillon de troupes égyptiennes à Djeddah. En outre, on
attendait d'un jour à l'autre à Alexandrie un corps turc de
800 hommes, également destiné pour Djeddah. Ces différents
corps de troupes devaient être transportés rapidement à leur
destination par les bâtiments de la nouvelle Compagnie qui
s'est formée sous l'impulsion du Vice-roi pour l'établisse-
ment d'un service régulier de bateaux à vapeur sur la mer
Rouge. )
Le Moniteur de la Flotte du 5 août annonce la conclusion
du traité fait par l'amirauté anglaise avec la Compagnie du
télégraphe électrique par la mer Rouge. M. Schiller aîné
montre de quelle importance est cette communication nou-
velle, et quel aigument péremptoire elle donne à l'entreprise
du canal de Suez.
Le Moniteur de la Flotte du 8 août analyse la réponse de
M. Stéphenson à M. de Négrelli, et il la réfute point par
point. La réponse du Moniteur de la Flotte nous paraît pé-
remptoire ; nous aurions voulu la reproduire; mais l'espace
nous manque, et nous faisons nous-mêmes une réponse ana.
logue à M. Stéphenson dans ce numéro de notre journal. On
peut voir plus haut la lettre de M Stéphenson et notre dis-
cussion.
Le Moniteur de la Flotte du 12 août analyse et discute la
brochure de M. le capitaine Spratt sur le port Saïd. M. le ca-
pitaine Spratt n'ayant pas vu les lieux dont il parle, son opi-
nion n'a que la valeur d'une hypothèse et ne peut prévaloir
contre les documents scientifiques qu'a réunis la Commission
internationale après une exploration attentive des localités. Le
Moniteur de la Flotte rappelle aussi que M. Spratt a changé
d'opinion d'une manière peu explicable en ce qui concerne
les embouchures du Danube. C'est un détail que nous avons
donné nous-mêmes dans notre dernier numéro.
Le Moniteur de la Flotte du 15 août revient sur l'oppor-
tunité du canal de Suez à propos de la peste, qui, dit-on, vient
d'être apportée de Tripoli à Alexandrie. La peste rendrait le
passage de l'Egypte impossible , tandis qu'avec le canal de
Sultan, les embarras profonds et nombreux qui les attendent
pour franchir l'espace maritime qui sépare cette dernière ville
de Djeddah. Le canal de Suez étant donné , les troupes em-
barquées à Constantinople s'en iraient tout droit débarquer
dans le port de la ville sainte. Cette leçon des événements ne
sera certainement point perdue pour le gouvernement turc.
Nous lui avons dit souvent que la conservation de sa puis-
sance sur l'Arabie, et spécialement sur les villes saintes, dé-
pendait d'une communication maintenue entre la Méditerra-
née et la mer Rouge. Aujourd'hui, personne ne douterait de
son pouvoir de faire justice, s'il pouvait directement expédier
ses flottes et ses soldats sur les points où ils sont appelés. Or,
la Porte ne peut point se faire illusion. Si elle ne châtie point
les coupables par elle-même, ils seront châtiés par la puis-
sance de l'Angleterre et de la France, et elle ne pourra pas
s'en plaindre.
» Pourtant ce serait un coup terrible porté à son prestige
dans ces contrées et une atteinte cruelle , quoique indispen-
sable dès lors , à sa souveraineté. Qu'elle ne se réserve point
pour l'avenir les embarras et les perplexités du présent;
qu'elle prenne à la fois conseil de son intérêt, de sa dignité et
de son indépendance. Quelle cesse de temporiser ; qu'elle
hâte au contraire et encourage de toute son initiative le per-
cement de l'isthme de Suez, et bientôt elle reprendra dans la
mer Rouge tout l'ascendant qu'elle y a si complétement perdu.
La circonstance est opportune, l'avertissement est éloquent, et
la présence de M. Ferdinand de Lesseps à Constantinople
achève de lui donner les moyens et les raisons propres à lui
faire prendre enfin une résolution dont l'urgence est désor-
mais écrite en traits de sang dans les massacres et les ou-
trages de Djeddah. »
Le Moniteur industriel du 12 août publie la lettre tout
entière de M. Stéphenson, et il la réfute dans un premier ar-
ticle, qui doit être suivi prochainement d'un second, destiné à
le compléter.
Le Moniteur industriel reproduit ensuite la lettre de M. Wil-
son au Times, que nous avons donnée nous-mêmes, pour
montrer comment M. Stéphenson est jugé en Angleterre.
Après cet article, M. P. B—s Darnis parle de la Décadence de
lord Palmerston, et il rapporte en preuve un passage du dis-
cours de M. Fox, membre du Parlement, à ses électeurs.
Enfin le Moniteur industriel reproduit l'article du Moni-
leur de la Flotte sur la réponse de M. Stéphenson à M. de
Négrelli, et de nouveaux renseignements sur les massacres de
Djeddah, d'après le Sémaphore de Marseille.
Le Moniteur industriel du 19 août annonce en termes gé-
néraux la réception de M. Ferd. de Lesseps à Odessa :
« La Russie, dit l'auteur, par ses autorités et ses popula-
tions les plus intelligentes, vient encore de s'associer plus
étroitement aux laborieux efforts du promoteur du canal de
Suez. On se rappelle que la Compagnie russe de navigation
à vapeur pour la mer Noire et la Méditerranée avait déjà of-
fert à cette entreprise un témoignage expressif de ses sympa-
thies, en lui accordant une réduction considérable sur les ma-
tériaux qu'elle ferait transporter dans l'isthme par les navires
de cette Compagnie. M. Ferd. de Lesseps a profité de son sé-
jour à Constantinople pour se rendre à Odessa, voulant étu-
dier par lui-même les sentiments de cette grande cité com-
merciale. Les détails de ce voyage nous manquent encore.
Nous savons seulement que notre courageux et infatigable
compatriote a rencontré à Odessa un accueil que n'efface pas
celui dont l'ont honoré tant d'autres villes européennes. Tout
ce que nous pouvons dire, c'est qu'il a recueilli dans ce grand
foyer du commerce russe, et des autorités officielles et des
habitants, les plus vifs témoignages de l'intérêt qu'ils portent
à son œuvre et du concours qu'ils sont résolus à lui donner.
Cette circonstance est loin d'être indifférente dans l'état ac-
tuel de la question. Elle achève de constater l'unanimité des
peuples et celle des gouvernements, si nous en exceptons les
faiblesses et les préjugés qui retiennent encore le cabinet
Derby. Mais comment, en présence de ce courant irrésistible
de l'opinion universelle, quelques hommes inconsistants ou ré-
trogrades pourraient-ils arrêter ce torrent qui veut marcher
vers la civilisation et vers la liberté véritable des échanges
internationaux? ) P. B-s DARNIS.
M. P. B-s Darnis consacre ensuite une seconde réfutation
à H M. R. Stéphenson devant l'opinion publique ; » puis il
annonce le travail de M. Paléocapa, en réponse à MM. Mac-
Clean, Ch. Manby et Stéphenson. Il reproduit l'article du
Siècle sur Cherbourg, dont nous donnons plus bas les pas-
sages les plus importants. Enfin le Aloniteur industriel publie
l'article du Moniteur de la Flotte en réponse à la brochure
de M. Spratt, que connaissent nos lecteurs.
Le Journal des Débats du 12 août rapporte les faux bruits
qui avaient couru à Alexandrie sur une insurrection prochaine
des Bédouins; puis il ajoute :
« A la date du 24 juillet, le commissaire spécial envoyé
par la Porte à Djeddah, pour procéder à une enquête sur les
événements dont cette ville a été le théâtre, venait d'arriver à
Alexandrie. On parlait déjà d'une conférence que le commis-
saire de la Porte avait eue avec le Vice-roi, et l'on assurait
que, sur la demande du Sultan, le Vice-roi devait envoyer un
bataillon de troupes égyptiennes à Djeddah. En outre, on
attendait d'un jour à l'autre à Alexandrie un corps turc de
800 hommes, également destiné pour Djeddah. Ces différents
corps de troupes devaient être transportés rapidement à leur
destination par les bâtiments de la nouvelle Compagnie qui
s'est formée sous l'impulsion du Vice-roi pour l'établisse-
ment d'un service régulier de bateaux à vapeur sur la mer
Rouge. )
Le Moniteur de la Flotte du 5 août annonce la conclusion
du traité fait par l'amirauté anglaise avec la Compagnie du
télégraphe électrique par la mer Rouge. M. Schiller aîné
montre de quelle importance est cette communication nou-
velle, et quel aigument péremptoire elle donne à l'entreprise
du canal de Suez.
Le Moniteur de la Flotte du 8 août analyse la réponse de
M. Stéphenson à M. de Négrelli, et il la réfute point par
point. La réponse du Moniteur de la Flotte nous paraît pé-
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nous manque, et nous faisons nous-mêmes une réponse ana.
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brochure de M. le capitaine Spratt sur le port Saïd. M. le ca-
pitaine Spratt n'ayant pas vu les lieux dont il parle, son opi-
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contre les documents scientifiques qu'a réunis la Commission
internationale après une exploration attentive des localités. Le
Moniteur de la Flotte rappelle aussi que M. Spratt a changé
d'opinion d'une manière peu explicable en ce qui concerne
les embouchures du Danube. C'est un détail que nous avons
donné nous-mêmes dans notre dernier numéro.
Le Moniteur de la Flotte du 15 août revient sur l'oppor-
tunité du canal de Suez à propos de la peste, qui, dit-on, vient
d'être apportée de Tripoli à Alexandrie. La peste rendrait le
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