Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1858-08-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 août 1858 01 août 1858
Description : 1858/08/01 (T4,N8)-1858/08/31. 1858/08/01 (T4,N8)-1858/08/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k56657781
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
89
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 4° ANNÉE. — AOUT 1858.
90
U° 8. — floùt 1858.
PL. 33, BU, 35, 36.
Sommaire.
TEXTE.—Projets et propositions utiles. —38. Enseignement de l'agricul-
ture dans les écoles primaires. — 39. Les irrigations du Roussillon. — Chronique.
— Travaux de Paris. — Caserne du Château-d'Eau. —Bâtiments-annexes de l'hôtel
de ville. — Réservoirs des buttes de Chaumont et de Belleville. —Reconstruction du
marché du Temple. — Travaux des Départements. — Affaires courantes du mois de
Juillet 1858. — Camp de Châlons. — Flèche de Sainte-Croix à Orléans. — Portes en
fonte et en fer forgé du Palais de Justice de Lyon. — Achèvement du Cours des Char-
treux à Lyon. — L'emploi de l'artillerie dans les travaux publics. — La télégraphie
électrique en Algérie. — Villes projetées à Mustapha et à Mers-el-Kébir. — Travaux de
l'Étranger. — Distribution d'eau de Liverpool. — Arsenal de Mare-Island (Californie ).
—Wotes et documents.— Grande estacade en bois sur la Marne , de l'embranche-
ment du camp de Châlons (PI. 33-34).—Notice sur le remblais-viaduc de Neuenmarkt
à Marktschorgast ( chemin de fer Saxo-Bavarois, PI. 35 )• — Rampe de Borschach à
Saint-Gall (Suisse). — De la disposition générale des bâtiments d'une ferme, et des-
cription de la grande ferme de Liscard (Angleterre) (PI. 36).—Notice sur le régime de
la Garonne à Toulouse,, par M. MAITROT DE VARENNES , Ingénieur en chef des Ponts et
Chaussées. — Revue Bibliographique. — Note sur le passage du Libron par les
systèmes MAGUÈS et SERRIN.
PROJETS ET PROPOSITIONS UTILES.
3S (!)• Enseignement de l'agriculture
dans les écoles primaires.
Un des moyens les plus efficaces de rendre le travail agricole at-
trayant, et de combattre les routines contraires aux progrès à réaliser,
serait de consacrer, dans toutes les écoles primaires, quelques leçons
au moins chaque année à l'enseignement des premières notions d'agri-
culture.
De grands tableaux coloriés, représentant les dispositions générales
des couches terrestres, les profils et contours des principaux accidents
du sol, les travaux d'irrigation et de drainage de quelques localités ca-
ractéristiques, les principaux ustensiles ruraux et quelques bons types
de constructions rurales économiques, devraient être mis constamment
sous les yeux des élèves.
Quelques promenades intéressantes pourraient être faites pour leur
expliquer sur place les noms et les usages des objets relatifs aux grandes
ou aux petites exploitations agricoles.
L'introduction des agents mécaniques dans l'agriculture devrait être
préconisée pour les travaux d'une importance suffisante.
Les avantages de la réunion de plusieurs propriétaires pour l'exploi-
tation en commun de leurs terres, sous le régime de l'entreprise, de-
vraient être montrés comme le remède naturel aux inconvénients du
morcellement indéfini du sol.
Des concours, des prix et des médailles pourraient compléter cet
ensemble de mesures.
De cette manière on préparerait, dès l'enfance, les esprits des agri-
culteurs et des propriétaires à reconnaître la supériorité des méthodes
nouvelles.
On poserait, de la manière la plus certaine, les premières bases de
l'agriculture industrielle.
G. A. OPPERMANN.
Paris. — 1" Août 1858.
39. I^es Irrigations du Roussillon.
Projet de barrage de la Tet ( Pyrénées-Orientales).
Tout le monde sait que la belle plaine du Roussillon, traversée vers,
son centre par la Tet, est une des terres les plus fécondes de l'Empire,
et que, depuis que le chemin de fer du Midi y pénètre, elle tend de jour
en jour à se transformer en un immense jardin. Or, comme le grenadier
et l'aloès poussent partout en pleine terre, on peut dire que cette partie
(1) Pour la suite des numéros, voir le Portefeuille économique des Machines et
l'Album de l'Art industriel.
G. 61
du territoire qu'on pourrait appeler l'Espagne française, donne tous les
produits de l'horticulture péninsulaire. Déjà en 1856, alors que les
voies ferrées ne touchaient pas encore au Département des Pyrénées-
Orientales, on estimait à 2^,887,000 fr. le produit annuel des potagers
du seul territoire de Perpignan. La mer emportait en Angleterre et en
Russie la masse de ces productions. Aujourd'hui elles ont Paris et tout
le nord de la France pour nouveaux débouchés. Aussi tout le pays se
couvre-t-il de jardins avec une rapidité extraordinaire, et l'on peut
prévoir que l'horticulture aura bientôt envahi toutes les terres suscep-
tibles d'être arrosées.
Sous le soleil du Roussillon, en effet, l'eau est aussi indispensable
que le fumier, et l'eau fait des miracles, dit un proverbe du pays. Aussi
est-ce aux canaux d'irrigation ouverts avant les Romains par les Gau-
lois-Narbonnais et les Celtibériens que cette terre promise doit sa mer-
veilleuse fécondité, et que nous devons de n'avoir pas à celte extré-
mité orientale des Pyrénées l£ triste pendant des Landes.
Les Romains, les Yisigoths, les Arabes, n'on fait qu'étendre et per-
fectionner, mais dans les limites restreintes de l'industrie de ces temps
anciens, des travaux contemporains imités des Étrusques, et l'indus-
trie moderne n'a pas encore tourné les yeux vers cette source de ri-
chesses. Cependant les chemins de fer sont venus, il y a six mois, de-
mander au Roussillon des produits qu'il ne peut plus tirer que des eaux
de ses montagnes, ces eaux, dont on peut dire depuis le mois de février
dernier (inauguration du chemin de Narbonne au Yernet) qu'elles vont
désormais engloutir tous les ans des millions dans la Méditerranée, si
l'on ne se hâte de les arrêter au passage, et de les faire monter aux
étages qu'elles n'ont point encore abordés.
Le projet que nous allons exposer n'embrasse qu'une partie de ce
vaste et intéressant problème, mais la solution indiquée, pour un cas par-
ticulier est applicable à l'ensemble, et le succès sur un point l'assurera
sur toute la ligne.
Il s'agit de barrer la Tet à l'amont de Montlouis, à 2,000 mètres au-
dessus de la mer, dans une région déserte et entièrement inculte; de
retenir ainsi 23,547,053 mètres cubes d'eau, de compléter l'arrosage
de 6,113 hectares qui manquent d'eau en Juillet et Août, et d'élever du
prix de 750 fr. à la valeur de 5,000, 3,886 hectares de terres arides;
le tout moyennant une dépense de 2,800,000 fr. seulement. Revenu
net : 25 à 30 0/0 du capital engagé, sans compter l'augmentation de la
richesse du pays.
Il y a vingt ans que l'on étudie ce projet. L'avant-métré des travaux
a été dressé dans tous ses détails avec le plus grand soin, et des règle-
ments qui datent d'hier pour des cas partiels, mais en tout semblables
à celui-ci, ne laissant pas le moindre doute sur la quotité des abon-
nements, c'est-à-dire sur les bénéfices de l'entreprise.
Entrons maintenant dans les détails.
Description de la vallée de la Tel.
La vallée de la Tet présente au-dessus de Montlouis deux emplace-
ments propres à l'établissement de vastes retenues d'eau, aux deux
points dits de la Bouillouse et du Pla des Abeillans.
Le réservoir de la Bouillouse serait situé au centre des montagnes,
à 2,000 mètres au dessus de la mer, dans une région inhabitée et sans
culture. Le barrage en maçonnerie aurait 18 mètres de hauteur,
484 mètres de longueur et 8 mètres d'épaisseur au sommet. La capa-
cité du réservoir serait de 20,398,449 mètres cubes, et l'eau s'en échap-
perait au moyen de trois étages de vannes.
A une distance de 400 mètres en aval de la Bouillouse, la vallée de la
Tet présente un second élargissement, le Pla des Abeillans, également
très-propre à l'établissement d'un deuxième réservoir; le barrage au-
rait 15 mètres de hauteur, et le réservoir une capacité de 3,148,504
mètres cubes.
Ces deux barrages seraient fondés sur un granit compacte, et, comme
cette roche paraît très-homogène dans tout le pourtour des deux réser-
voirs projetés, les pertes se réduiraient à celles de l'évaporation, qui
est bien faible à 800 mètres au-dessous des neiges perpétuelles, et aux
fuites par les vannes du barrage inférieur. Ajoutons que le vaste cirque
des montagnes qui enveloppent la Bouillouse et le Pla des Abeillans ne
1858. — 12
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 4° ANNÉE. — AOUT 1858.
90
U° 8. — floùt 1858.
PL. 33, BU, 35, 36.
Sommaire.
TEXTE.—Projets et propositions utiles. —38. Enseignement de l'agricul-
ture dans les écoles primaires. — 39. Les irrigations du Roussillon. — Chronique.
— Travaux de Paris. — Caserne du Château-d'Eau. —Bâtiments-annexes de l'hôtel
de ville. — Réservoirs des buttes de Chaumont et de Belleville. —Reconstruction du
marché du Temple. — Travaux des Départements. — Affaires courantes du mois de
Juillet 1858. — Camp de Châlons. — Flèche de Sainte-Croix à Orléans. — Portes en
fonte et en fer forgé du Palais de Justice de Lyon. — Achèvement du Cours des Char-
treux à Lyon. — L'emploi de l'artillerie dans les travaux publics. — La télégraphie
électrique en Algérie. — Villes projetées à Mustapha et à Mers-el-Kébir. — Travaux de
l'Étranger. — Distribution d'eau de Liverpool. — Arsenal de Mare-Island (Californie ).
—Wotes et documents.— Grande estacade en bois sur la Marne , de l'embranche-
ment du camp de Châlons (PI. 33-34).—Notice sur le remblais-viaduc de Neuenmarkt
à Marktschorgast ( chemin de fer Saxo-Bavarois, PI. 35 )• — Rampe de Borschach à
Saint-Gall (Suisse). — De la disposition générale des bâtiments d'une ferme, et des-
cription de la grande ferme de Liscard (Angleterre) (PI. 36).—Notice sur le régime de
la Garonne à Toulouse,, par M. MAITROT DE VARENNES , Ingénieur en chef des Ponts et
Chaussées. — Revue Bibliographique. — Note sur le passage du Libron par les
systèmes MAGUÈS et SERRIN.
PROJETS ET PROPOSITIONS UTILES.
3S (!)• Enseignement de l'agriculture
dans les écoles primaires.
Un des moyens les plus efficaces de rendre le travail agricole at-
trayant, et de combattre les routines contraires aux progrès à réaliser,
serait de consacrer, dans toutes les écoles primaires, quelques leçons
au moins chaque année à l'enseignement des premières notions d'agri-
culture.
De grands tableaux coloriés, représentant les dispositions générales
des couches terrestres, les profils et contours des principaux accidents
du sol, les travaux d'irrigation et de drainage de quelques localités ca-
ractéristiques, les principaux ustensiles ruraux et quelques bons types
de constructions rurales économiques, devraient être mis constamment
sous les yeux des élèves.
Quelques promenades intéressantes pourraient être faites pour leur
expliquer sur place les noms et les usages des objets relatifs aux grandes
ou aux petites exploitations agricoles.
L'introduction des agents mécaniques dans l'agriculture devrait être
préconisée pour les travaux d'une importance suffisante.
Les avantages de la réunion de plusieurs propriétaires pour l'exploi-
tation en commun de leurs terres, sous le régime de l'entreprise, de-
vraient être montrés comme le remède naturel aux inconvénients du
morcellement indéfini du sol.
Des concours, des prix et des médailles pourraient compléter cet
ensemble de mesures.
De cette manière on préparerait, dès l'enfance, les esprits des agri-
culteurs et des propriétaires à reconnaître la supériorité des méthodes
nouvelles.
On poserait, de la manière la plus certaine, les premières bases de
l'agriculture industrielle.
G. A. OPPERMANN.
Paris. — 1" Août 1858.
39. I^es Irrigations du Roussillon.
Projet de barrage de la Tet ( Pyrénées-Orientales).
Tout le monde sait que la belle plaine du Roussillon, traversée vers,
son centre par la Tet, est une des terres les plus fécondes de l'Empire,
et que, depuis que le chemin de fer du Midi y pénètre, elle tend de jour
en jour à se transformer en un immense jardin. Or, comme le grenadier
et l'aloès poussent partout en pleine terre, on peut dire que cette partie
(1) Pour la suite des numéros, voir le Portefeuille économique des Machines et
l'Album de l'Art industriel.
G. 61
du territoire qu'on pourrait appeler l'Espagne française, donne tous les
produits de l'horticulture péninsulaire. Déjà en 1856, alors que les
voies ferrées ne touchaient pas encore au Département des Pyrénées-
Orientales, on estimait à 2^,887,000 fr. le produit annuel des potagers
du seul territoire de Perpignan. La mer emportait en Angleterre et en
Russie la masse de ces productions. Aujourd'hui elles ont Paris et tout
le nord de la France pour nouveaux débouchés. Aussi tout le pays se
couvre-t-il de jardins avec une rapidité extraordinaire, et l'on peut
prévoir que l'horticulture aura bientôt envahi toutes les terres suscep-
tibles d'être arrosées.
Sous le soleil du Roussillon, en effet, l'eau est aussi indispensable
que le fumier, et l'eau fait des miracles, dit un proverbe du pays. Aussi
est-ce aux canaux d'irrigation ouverts avant les Romains par les Gau-
lois-Narbonnais et les Celtibériens que cette terre promise doit sa mer-
veilleuse fécondité, et que nous devons de n'avoir pas à celte extré-
mité orientale des Pyrénées l£ triste pendant des Landes.
Les Romains, les Yisigoths, les Arabes, n'on fait qu'étendre et per-
fectionner, mais dans les limites restreintes de l'industrie de ces temps
anciens, des travaux contemporains imités des Étrusques, et l'indus-
trie moderne n'a pas encore tourné les yeux vers cette source de ri-
chesses. Cependant les chemins de fer sont venus, il y a six mois, de-
mander au Roussillon des produits qu'il ne peut plus tirer que des eaux
de ses montagnes, ces eaux, dont on peut dire depuis le mois de février
dernier (inauguration du chemin de Narbonne au Yernet) qu'elles vont
désormais engloutir tous les ans des millions dans la Méditerranée, si
l'on ne se hâte de les arrêter au passage, et de les faire monter aux
étages qu'elles n'ont point encore abordés.
Le projet que nous allons exposer n'embrasse qu'une partie de ce
vaste et intéressant problème, mais la solution indiquée, pour un cas par-
ticulier est applicable à l'ensemble, et le succès sur un point l'assurera
sur toute la ligne.
Il s'agit de barrer la Tet à l'amont de Montlouis, à 2,000 mètres au-
dessus de la mer, dans une région déserte et entièrement inculte; de
retenir ainsi 23,547,053 mètres cubes d'eau, de compléter l'arrosage
de 6,113 hectares qui manquent d'eau en Juillet et Août, et d'élever du
prix de 750 fr. à la valeur de 5,000, 3,886 hectares de terres arides;
le tout moyennant une dépense de 2,800,000 fr. seulement. Revenu
net : 25 à 30 0/0 du capital engagé, sans compter l'augmentation de la
richesse du pays.
Il y a vingt ans que l'on étudie ce projet. L'avant-métré des travaux
a été dressé dans tous ses détails avec le plus grand soin, et des règle-
ments qui datent d'hier pour des cas partiels, mais en tout semblables
à celui-ci, ne laissant pas le moindre doute sur la quotité des abon-
nements, c'est-à-dire sur les bénéfices de l'entreprise.
Entrons maintenant dans les détails.
Description de la vallée de la Tel.
La vallée de la Tet présente au-dessus de Montlouis deux emplace-
ments propres à l'établissement de vastes retenues d'eau, aux deux
points dits de la Bouillouse et du Pla des Abeillans.
Le réservoir de la Bouillouse serait situé au centre des montagnes,
à 2,000 mètres au dessus de la mer, dans une région inhabitée et sans
culture. Le barrage en maçonnerie aurait 18 mètres de hauteur,
484 mètres de longueur et 8 mètres d'épaisseur au sommet. La capa-
cité du réservoir serait de 20,398,449 mètres cubes, et l'eau s'en échap-
perait au moyen de trois étages de vannes.
A une distance de 400 mètres en aval de la Bouillouse, la vallée de la
Tet présente un second élargissement, le Pla des Abeillans, également
très-propre à l'établissement d'un deuxième réservoir; le barrage au-
rait 15 mètres de hauteur, et le réservoir une capacité de 3,148,504
mètres cubes.
Ces deux barrages seraient fondés sur un granit compacte, et, comme
cette roche paraît très-homogène dans tout le pourtour des deux réser-
voirs projetés, les pertes se réduiraient à celles de l'évaporation, qui
est bien faible à 800 mètres au-dessous des neiges perpétuelles, et aux
fuites par les vannes du barrage inférieur. Ajoutons que le vaste cirque
des montagnes qui enveloppent la Bouillouse et le Pla des Abeillans ne
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