Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1858-02-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 février 1858 01 février 1858
Description : 1858/02/01 (T4,N2)-1858/02/28. 1858/02/01 (T4,N2)-1858/02/28.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5665765d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
23
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. —FÉVRIER l'85:8.
24
Résumé et conclusions.
En résumé, la résistance moyenne des fers soumis aux expériences,
défalcation faite des cas accidentels, du maximum et du minimum, est
de 46k,36 par millimètre quarré de section.
Ces fers sont donc de bonne qualité, puisque le minimum fixé par
le devis n'est que de 40 kilogrammes.
. On peut remarquer d'ailleurs que tes essais ont été faits dans des cir-
constances plutôt défavorables qu'avantageuses pour le fabricant des
fers, puisque les échantillons ont été tous tirés de barres plus, grosses
que leur diamètre dans l'appareil, et qu'on en a enlevé la surface qui
est la meilleure partie.
L'influence de la surface est d'ailleurs mise en évidence d'une ma-
nière très-sensible par la comparaison des résistances des tiges ex-
traites des barres de 14 millimètres avec celles des tiges extraites des
barres de 39 millimètres.
On voit que toutes lés tiges extraites des barres minces ont mieux
résisté que celles tirées des barres de plus fort diamètre.
Enfin, il est bonde remarquer aussi que les quatre derniers échan-
tillons, amenés au diamètre d'expérience par un limage en long, ont
mieux résisté que lès huit premiers, exclusivement façonnés sur le
tour.
On doit en conclure que le limage en long corroie le fer en quelque
sorte, et dispose ses fibres longitudinalement à la surface, tandis que
le tour, qui agit perpendiculairement aux fibres, en contrarie la dis-
position , les .arrache à la surface, et provoque ainsi une moindre
résistance et une plus prompte rupture.
Le prix total des expériences dont il s'agit, compris la construction
de l'appareil, peut être évalué à 500 francs environ.
C. À. OPPERMANN.
Meaux le -Ie' septembre 1857.
Expériences sur la résistance des fermes du manège
«le Meaux
Faites par MM. OPPERMÀNN et JORET, constructeurs, sous la direction
de M. FERYEL, Commandant du Génie militaire.
La charpente du manège de Meaux est en fer, bois et fonte, à lon-
gues bielles et à tirant peu surélevé, conformément au type adopté par
le Génie militaire. '
La portée dés fermes dans oeuvre est de 22m. 00 juste.
Leur portée de centre en centre des boulons des sabots de retombée
est de W.25.
Les arbalétriers en bois ont 20 sur 30 d'équarissage.
Le tirant principal a un diamètre, d'ailleurs un peu fort, de 51 milli-
mètres, le génie militaire ne calculant ses fers qu'à 5 kilogrammes par
millimètre quarré.
Pour faire les expériences, on a d'abord dressé deux chantiers
en madriers de chêne, croisés, placés parallèlement à l'axe du manège
et devant l'entrée principale:
Ces chantiers, destinés à recevoir les sabots des deux fermes mises
en expérience à la distance d'axe en axe de 50 mètres, 3 ont
été solidement fondés dans deux excavations du sol, et nivelés avec
soin.
Les deux fermes, assemblées par terre, de part et d'autre, de telle
sorte que les sabots soient posés d'avance sur les points où ils devaient
s'appuyer, ont été habillées de moises de sûreté, tarit horizontales que
verticales, destinées à s'opposer au flambage et au gauchissement lors
du relèvement. . '
Ces mêmes moises de sûreté ont servi ultérieurement au levage dé-
finitif des seize fermes du manège, qui s'est fait avec une grande ra-
pidité, une ferme complète étant assemblée et levée chaque jour.
Les fermes habillées ont été ensuite levées en pivotant autour de
leurs sabots et autour des extrémités des moises verticales qui étaient
disposées de manière à toucher la terre plus énergiquement que les
sabots eux-mêmes.
Aussitôt les deux fermes dressées, on a établi de l'une à l'autre des
moises provisoires serrant la moise principale de chaque système, et on
les a rendues solidaires par un lacé en zigzag composé de liernes solide-
ment nouées à la corde.
Puis on a posé lés pannes et établi un plancher longitudinal.
Cela fait, on a desserré les cordages et lés boulons des moises de
sûreté, et l'on a chargé progressivement jusqu'à une charge totale de
30,000 kilogrammes (le poids d'une locomotive ordinaire), compris
les fermes elles-mêmes (pesant 3 tonnes) et leurs habillages, au
moyen de brouettées de moellons très-denses, pesées par avance,
et inscrites au fur et à mesure.
A l'une des extrémités dés fermes (à droite, sur la figure 1) les
sabots reposaient sur un châssis de trois rouleaux en fer rond de
37 millimètres de diamètre, maintenus à leurs extrémités par deux
plates bandes en fer méplat.
La durée de la charge d'épreuve a été de trois jours, pour donner
complète satisfaction, et le mouvement des sabots mobiles n'a été que
de 18 à 20 millimètres après les trois jours.
La charge d'épreuve totale étant de 30,000 kilogrammes, la chargé
d'épreuve par chaque ferme -, supportant 100 mètres quarrés .de sur-
face de couverture était de 15,000 kilogrammes.
C'est 150 kilogrammes par mètre quarré ; or la couverture,.étant en
ardoise, on peûtadmettré pour charge maxima, dans les jours les plus
défavorables de neige: et. de vent, un poids de 125 kilogrammes par
mètre quarré, ainsi décomposé : '
Charge limite en pratique.
Couverture en ardoise et voligeage. . •.-. 35 kilogr.
Charpente, pannes et chevrons. ... . 45
Poids de la neige. ........... 25
Pression normale du vent. . . . . . .... 20
TOTAL. . . . . 125 kilogr.
On voitdonc que les expériences faites à 150 kilogrammes ont large-
ment dépassé la charge accidentelle limite de la pratique, et peuvent
être considérées comme donnant une sécurité complète.
Le prix total des expériences compris location des moises et liernes,
voyages, déplacements et faux frais, s'est élevé à la somme de
800 francs environ. ..';.
C. A. OPPERMANN.
Meaux, le 10 novembre 1857.
BEVUE AGRICOLE.
Drainage «le ï'ëglise «le liorris (LOIRET).
En 1855, l'église de Lorris, en Gâtinais (Loiret), où l'eau courait ha-
bituellement sur les dalles après la moindre pluie, a été assainie au
moyen du drainage pour une dépense totale de 143 fr., et encore ce
chiffre n'a été atteint que parce que l'on a dû traverser, pour donner
le débouché nécessaire aux conduites, des murs de refend souterrains
très-épais et très-durs dont on ignorait l'existence.
Drainage d'un champ par un puits alïsorfoamt.
En 1855, il existait à la ferme du Plessis, à quelques lieues d'Or-
léans, un champ tellement couvert d'une eau sans écoulement possible,
qu'on ne pouvait y mettre la charrue qu'au mois de juin pour en ob-
tenir un peu de seigle.
Il n'y avait pas à songer à drainer par les procédés ordinaires, car,
eu égard à la configuration spéciale du sol, il n'y avait pas de sortie
possible pour un collecteur.
Cela étant, on prit le parti de percer un puits absorbant et l'on draina
ensuite en rayonnant autour du puits et en mettant les collecteurs en
rapport avec cet ouvrage.
Dès le mois de novembre suivant, la charrue entrait sans difficultés
sur ce terrain infertile qui, maintenant, rembourse largement les
avances faites.
Drainage «les fondations «l'an pont.
En 1856, dans le Calvados, on travaillait aux fondations du pont
de Roch.
De nombreuses sources par infiltration remplissaient les fouilles et
menaçaient de donner lieu à des frais d'épuisement considérables.
M. OLIVIER, Ingénieur en chef du département, fit établir alors au-
tour de l'emplacement de la culée un petit réseau de drainage, et aus-
sitôt l'eau prit un nouveau cours et permit de travailler très-facilement.
Drainage «les accotements «les routes.
Depuis cette époque, on a drainé aussi les accotements'de la route
ouverte en tranchée aux abords du pont. ,
Le sol s'est raffermi et le mouvement des talus s'est arrêté.
Il en a été de même sur d'autres points du département, où il est
bien avéré aujourd'hui que, de tous les moyens de s'opposer au glisse-
ment des talus, le drainage est un des plus efficaces.
CH. HODDAN, à Caen.
C. A. OPPERMANN, DIRECTEUR,
11, rne des Beaux-Arts, à Paris.
Paris. — Imprimé par E. THUNOT et C% 26, rue Racine.
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. —FÉVRIER l'85:8.
24
Résumé et conclusions.
En résumé, la résistance moyenne des fers soumis aux expériences,
défalcation faite des cas accidentels, du maximum et du minimum, est
de 46k,36 par millimètre quarré de section.
Ces fers sont donc de bonne qualité, puisque le minimum fixé par
le devis n'est que de 40 kilogrammes.
. On peut remarquer d'ailleurs que tes essais ont été faits dans des cir-
constances plutôt défavorables qu'avantageuses pour le fabricant des
fers, puisque les échantillons ont été tous tirés de barres plus, grosses
que leur diamètre dans l'appareil, et qu'on en a enlevé la surface qui
est la meilleure partie.
L'influence de la surface est d'ailleurs mise en évidence d'une ma-
nière très-sensible par la comparaison des résistances des tiges ex-
traites des barres de 14 millimètres avec celles des tiges extraites des
barres de 39 millimètres.
On voit que toutes lés tiges extraites des barres minces ont mieux
résisté que celles tirées des barres de plus fort diamètre.
Enfin, il est bonde remarquer aussi que les quatre derniers échan-
tillons, amenés au diamètre d'expérience par un limage en long, ont
mieux résisté que lès huit premiers, exclusivement façonnés sur le
tour.
On doit en conclure que le limage en long corroie le fer en quelque
sorte, et dispose ses fibres longitudinalement à la surface, tandis que
le tour, qui agit perpendiculairement aux fibres, en contrarie la dis-
position , les .arrache à la surface, et provoque ainsi une moindre
résistance et une plus prompte rupture.
Le prix total des expériences dont il s'agit, compris la construction
de l'appareil, peut être évalué à 500 francs environ.
C. À. OPPERMANN.
Meaux le -Ie' septembre 1857.
Expériences sur la résistance des fermes du manège
«le Meaux
Faites par MM. OPPERMÀNN et JORET, constructeurs, sous la direction
de M. FERYEL, Commandant du Génie militaire.
La charpente du manège de Meaux est en fer, bois et fonte, à lon-
gues bielles et à tirant peu surélevé, conformément au type adopté par
le Génie militaire. '
La portée dés fermes dans oeuvre est de 22m. 00 juste.
Leur portée de centre en centre des boulons des sabots de retombée
est de W.25.
Les arbalétriers en bois ont 20 sur 30 d'équarissage.
Le tirant principal a un diamètre, d'ailleurs un peu fort, de 51 milli-
mètres, le génie militaire ne calculant ses fers qu'à 5 kilogrammes par
millimètre quarré.
Pour faire les expériences, on a d'abord dressé deux chantiers
en madriers de chêne, croisés, placés parallèlement à l'axe du manège
et devant l'entrée principale:
Ces chantiers, destinés à recevoir les sabots des deux fermes mises
en expérience à la distance d'axe en axe de 50 mètres, 3 ont
été solidement fondés dans deux excavations du sol, et nivelés avec
soin.
Les deux fermes, assemblées par terre, de part et d'autre, de telle
sorte que les sabots soient posés d'avance sur les points où ils devaient
s'appuyer, ont été habillées de moises de sûreté, tarit horizontales que
verticales, destinées à s'opposer au flambage et au gauchissement lors
du relèvement. . '
Ces mêmes moises de sûreté ont servi ultérieurement au levage dé-
finitif des seize fermes du manège, qui s'est fait avec une grande ra-
pidité, une ferme complète étant assemblée et levée chaque jour.
Les fermes habillées ont été ensuite levées en pivotant autour de
leurs sabots et autour des extrémités des moises verticales qui étaient
disposées de manière à toucher la terre plus énergiquement que les
sabots eux-mêmes.
Aussitôt les deux fermes dressées, on a établi de l'une à l'autre des
moises provisoires serrant la moise principale de chaque système, et on
les a rendues solidaires par un lacé en zigzag composé de liernes solide-
ment nouées à la corde.
Puis on a posé lés pannes et établi un plancher longitudinal.
Cela fait, on a desserré les cordages et lés boulons des moises de
sûreté, et l'on a chargé progressivement jusqu'à une charge totale de
30,000 kilogrammes (le poids d'une locomotive ordinaire), compris
les fermes elles-mêmes (pesant 3 tonnes) et leurs habillages, au
moyen de brouettées de moellons très-denses, pesées par avance,
et inscrites au fur et à mesure.
A l'une des extrémités dés fermes (à droite, sur la figure 1) les
sabots reposaient sur un châssis de trois rouleaux en fer rond de
37 millimètres de diamètre, maintenus à leurs extrémités par deux
plates bandes en fer méplat.
La durée de la charge d'épreuve a été de trois jours, pour donner
complète satisfaction, et le mouvement des sabots mobiles n'a été que
de 18 à 20 millimètres après les trois jours.
La charge d'épreuve totale étant de 30,000 kilogrammes, la chargé
d'épreuve par chaque ferme -, supportant 100 mètres quarrés .de sur-
face de couverture était de 15,000 kilogrammes.
C'est 150 kilogrammes par mètre quarré ; or la couverture,.étant en
ardoise, on peûtadmettré pour charge maxima, dans les jours les plus
défavorables de neige: et. de vent, un poids de 125 kilogrammes par
mètre quarré, ainsi décomposé : '
Charge limite en pratique.
Couverture en ardoise et voligeage. . •.-. 35 kilogr.
Charpente, pannes et chevrons. ... . 45
Poids de la neige. ........... 25
Pression normale du vent. . . . . . .... 20
TOTAL. . . . . 125 kilogr.
On voitdonc que les expériences faites à 150 kilogrammes ont large-
ment dépassé la charge accidentelle limite de la pratique, et peuvent
être considérées comme donnant une sécurité complète.
Le prix total des expériences compris location des moises et liernes,
voyages, déplacements et faux frais, s'est élevé à la somme de
800 francs environ. ..';.
C. A. OPPERMANN.
Meaux, le 10 novembre 1857.
BEVUE AGRICOLE.
Drainage «le ï'ëglise «le liorris (LOIRET).
En 1855, l'église de Lorris, en Gâtinais (Loiret), où l'eau courait ha-
bituellement sur les dalles après la moindre pluie, a été assainie au
moyen du drainage pour une dépense totale de 143 fr., et encore ce
chiffre n'a été atteint que parce que l'on a dû traverser, pour donner
le débouché nécessaire aux conduites, des murs de refend souterrains
très-épais et très-durs dont on ignorait l'existence.
Drainage d'un champ par un puits alïsorfoamt.
En 1855, il existait à la ferme du Plessis, à quelques lieues d'Or-
léans, un champ tellement couvert d'une eau sans écoulement possible,
qu'on ne pouvait y mettre la charrue qu'au mois de juin pour en ob-
tenir un peu de seigle.
Il n'y avait pas à songer à drainer par les procédés ordinaires, car,
eu égard à la configuration spéciale du sol, il n'y avait pas de sortie
possible pour un collecteur.
Cela étant, on prit le parti de percer un puits absorbant et l'on draina
ensuite en rayonnant autour du puits et en mettant les collecteurs en
rapport avec cet ouvrage.
Dès le mois de novembre suivant, la charrue entrait sans difficultés
sur ce terrain infertile qui, maintenant, rembourse largement les
avances faites.
Drainage «les fondations «l'an pont.
En 1856, dans le Calvados, on travaillait aux fondations du pont
de Roch.
De nombreuses sources par infiltration remplissaient les fouilles et
menaçaient de donner lieu à des frais d'épuisement considérables.
M. OLIVIER, Ingénieur en chef du département, fit établir alors au-
tour de l'emplacement de la culée un petit réseau de drainage, et aus-
sitôt l'eau prit un nouveau cours et permit de travailler très-facilement.
Drainage «les accotements «les routes.
Depuis cette époque, on a drainé aussi les accotements'de la route
ouverte en tranchée aux abords du pont. ,
Le sol s'est raffermi et le mouvement des talus s'est arrêté.
Il en a été de même sur d'autres points du département, où il est
bien avéré aujourd'hui que, de tous les moyens de s'opposer au glisse-
ment des talus, le drainage est un des plus efficaces.
CH. HODDAN, à Caen.
C. A. OPPERMANN, DIRECTEUR,
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