Presse et revues
4 pages
Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1855-06-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 juin 1855 01 juin 1855
Description : 1855/06/01 (N6)-1855/06/30. 1855/06/01 (N6)-1855/06/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577054v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
NOUYELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION.
tériaux de cet ouvrage sont préparés dans le grand chantier du quai
d'Orsay. Ce pont aura trois arches.
— De nombreux ouvriers sont occupés en ce moment à transformer
ou à reconstruire les casernes de cavalerie, de Saint-Germain.
— Un terrain de 96 mètres, rue Saint-Martin, près la rue neuve de
Rivoli, s'est vendu 31,000 fr., c'est-à-dire 323 fr. le mètre carré.
— On vient d'ouvrir à Londres un nouveau marché aux bestiaux. La
dépense totale supportée paT la cité ^ pour toute la construction du
marché, est de près de 400,000 liv. sterl. (10 millions).
— Concession a été faite, le 18 juin, à là compagnie du Grand-Central,
des lignes suivantes : 1° La section de Clermont-Ferrand à Montauban,
comprise entre Lempdes et le Lot; 2° les deux sections comprises,
d'une part, entre Saint-Étienne et le chemin de fer de Clermont à
Montauban, et de l'autre, entre le chemin de fer de Clermont à Mon-
tauban et Périgueux; 3° la ligne de Limoges à Agen.
NOTES ET DOCUMENTS.
1. Grande charpente en tôle de la gare de Saint-
Cierinatn, à Paris.
( Ingénieur en chef, M. E. FLACHAT. )
1855.— PLANCHES 21 ET 22.
Les quais et les voies de garage du chemin de fer de l'Ouest, dans la
station de Paris, rue Saint-Lazare, sont couverts par une grande char-
pente en tôle, de 40 mètres d'ouverture, couverte en tôle ondulée. Les
différentes pièces de chaque ferme sont composés de tôles de champ,
renforcées par des fers d'angle, de manière à former des doubles T. Une
lame horizontale est ajoutée à ce système dans la partie supérieure ou
dans la partie inférieure, selon la position de la pièce que l'on veut
renforcer.
Les efforts de traction et de compression ont été calculés en suppo-
sant une charge accidentelle de 50 kilogr. par mètre carré, et en ajou-
tant à cette charge un coefficient additionnel de 5 à 6 kilogr. par chaque
millimètre carré de section. On a obtenu ainsi les résultats suivants,
que nous déduisons approximativement d'un tableau où ils sont évalués
en livres anglaises :
1° Tractions ■• Tirant principal. . . . . FC — 70,487". 55
DE — 65,486k.25
AG — 39,810\17
FE — 39,3631.66
GE — 26,477\07
BD, BG — 13,788k.89
2° Compressions: Arbalétrier principal, AC — 75,758\15
Contre-fiches. . . . . DG — 5,202\70
Les fermes, reposant sur des colonnes en fonte, ont été écartées de
8 mètres l'une de l'autre, et sont reliées ensemble par des pannes en
tôle, comme les arbalétriers, et par des fers d'angle placés verticale-
ment. Les fermes, à leur sommet, sont d'ailleurs encore rattachées l'une
avec l'autre par un faîtage en tôle, plus fort que les pannes et renforcé
également par des fers d'angle.
Les colonnes enfin sont contreventées dans le sens longitudinal par
des entablements en fonte à jour, de 8 mètres de long sur 2 mètres de
haut.
Les fermes ont été exécutées dans les ateliers de M. Joly, à Argen-
teuil; elles ont été expédiées, par demi-fermes entièrement assemblées,
au chemin de fer d'Argenteuil, pour être transportées à Paris. Elles ont
été montées au moyen d'un échafaudage disposé de manière à ne pas
interrompre le service de la gare.
Le faîtage, les pannes, les chevrons et la tôle ondulée ont été posés
ensuite sur place.
Voici maintenant le poids des différentes pièces : -—Une ferme entière,
9,037 kilogr.; — Le faîtage entre-fermes, 450 kilogr.; — Une panne,
342 kilogr.
Le poids total des matériaux, pour une surface de 80 mètres de long
sur 40 mètres de large, c'est-à-dire pour 3,200 mètres carrés, compre-
nait 209,471^.15 de fers-et tôle, et 330,514k.69 de fonte.
Les ouvrages en fer furent entrepris par M. Joly,-au prix unique
de 315 fr. les 100 kilogr., tous rivets posés. Le montage seul fut mis
à la charge de la compagnie.
Quant aux fontes, elles furent fournies par M. Estoubon (fonderies
de Mazières et Bourges), au prix de 68 fr. les 100 kilogr. ajustés et
prêts à être montés.
Le prix total de l'ouvrage, y compris la main-d'oeuvre de montage et
les échafaudages, se trouva être ainsi de 993,175 fr. ; ce qui met le prix
du mètre carré à 310r.33. En réduisant les proportions de toutes les
pièces dans un même rapport, on pourra appliquer avantageusement le
même système à des ouvertures de 20, 25, 30 mètres.
S. Caisses à couler le béton.
1855. — PL/MICHE 23.
Nous donnons cette planche pour continuer, dans les Nouvelles An-
nales, la série importante des travaux de fondation, déjà ouverte dans
les livraisons précédentes par un caisson de fondation sur pilotis. Cette
même série sera encore représentée, dans les livraisons prochaines, par
plusieurs articles et planches relatifs à la très-intéressante question des
fondations tubulaires en fonte ou en tôle. A en juger par l'importance
des cas auxquels ce mode de fondation a été appliqué récemment, il
est certain qu'il est appelé au plus grand avenir.
3. Haut pont de Partage dans l'État de KTew-Tork.
1855. — PLANCHE 24.
Réaliser en peu de temps, au moyen d'ouvrages souvent gigan-
tesques, mais de la plus stricte économie, des entreprises importantes;
puis, une fois que ces fécondes entreprises ont porté leurs fruits, reve-
nir sur les premiers travaux faits, et les remplacer par d'autres plus
solides et plus durables au moyen des bénéfices réalisés : tel est le
principe général des travaux américains — telle est la politique in-
variablement suivie parla plupart des ingénieurs de l'autre côté des
mers.
Le pont, dont notre planche représente l'ensemble et les détails, est
un des exemples les plus caractéristiques que l'on puisse citer à l'appui
de ce système. Il n'est pas possible de faire mieux, dans des pays
neufs encore, avec des matériaux primitifs, avec des ressources limitées,
avec des revenus peu considérables à espérer pendant plusieurs années.
Et quoique, en France et en Angleterre, le bois soit généralement
banni des grandes constructions, pour y être remplacé par le fer, la
pierre ou les ciments, nous n'en soutiendrons pas moins le principe des
constructions économiques, pour les premiers temps de beaucoup d'en-
treprises à réaliser, et principalement pour les pays où l'on a sous la
main des forêts considérables : dans.les Vosges, dans les Cévennes, dans
les Landes, dans les Pyrénées, en Auvergne.
4. Locomotives articulées «le MM. Amoirv et Meycr.
Ces locomotives sont caractérisées par deux groupes de roues ma-
trices, indépendants l'un de l'autre et disposés à l'avant et à l'arrière de
la chaudière. Une machine de ce genre est en construction dans les
ateliers de M. Arnoux, et doit être expérimentée incessamment.
En remplaçant chacun des essieux extrêmes par un train mobile à
quatre roues, on aurait une machine américaine à douze roues. Les
quatre roues intermédiaires, motrices et adhérentes, pourraient être
très-chargées par suite de l'installation des tenders sur le châssis.
En allongeant encore la-chaudière, et portant à six le nombre des
roues adhérentes, on obtiendrait sans.doute un moteur bien mieux ap-
proprié aux exigences des fortes pentes et des courbes à petit rayon
que toutes les autres combinaisons déjà essayées, y compris celle de
M. Engerth.
Bibliographie. — Pour plus amples renseignements sur tout ce qui concerne les
nouveaux systèmes de locomotives construits dans ces dernières années, consulter MM. :
C. Couche, ingénieur des mines, professeur à l'École des mines : Des locomotives très-
puissantes, et à petite vitesse (Paris, 1855. V. Dalmont. 3 fr. 50 c.).—Emile Kessler, con-
structeur de machines à Esslingen : Die locomotive der oesterreichischen Staats-Eisenbahn
ueber den Semmering. Stuttgard, 1854. Hering et C*. Brochure grand in-8°. — Organ
fur die fortschritte des Eisenhahn wesens, Edmond ffeusinjer. Wiesbaden. 1 vol. par an.
5. Maisons en fer pour les colonies.
( Civil Engineer and Architectes Journal.)
Les chantiers de bâtiments enfer.de MM. Robertson et Lester, à
Glascow, Holmhead-Street, ont l'aspect d'une petite colonie. Dans cet
établissement, le fer, ce métal ductile et durable, est employé dans tous
tériaux de cet ouvrage sont préparés dans le grand chantier du quai
d'Orsay. Ce pont aura trois arches.
— De nombreux ouvriers sont occupés en ce moment à transformer
ou à reconstruire les casernes de cavalerie, de Saint-Germain.
— Un terrain de 96 mètres, rue Saint-Martin, près la rue neuve de
Rivoli, s'est vendu 31,000 fr., c'est-à-dire 323 fr. le mètre carré.
— On vient d'ouvrir à Londres un nouveau marché aux bestiaux. La
dépense totale supportée paT la cité ^ pour toute la construction du
marché, est de près de 400,000 liv. sterl. (10 millions).
— Concession a été faite, le 18 juin, à là compagnie du Grand-Central,
des lignes suivantes : 1° La section de Clermont-Ferrand à Montauban,
comprise entre Lempdes et le Lot; 2° les deux sections comprises,
d'une part, entre Saint-Étienne et le chemin de fer de Clermont à
Montauban, et de l'autre, entre le chemin de fer de Clermont à Mon-
tauban et Périgueux; 3° la ligne de Limoges à Agen.
NOTES ET DOCUMENTS.
1. Grande charpente en tôle de la gare de Saint-
Cierinatn, à Paris.
( Ingénieur en chef, M. E. FLACHAT. )
1855.— PLANCHES 21 ET 22.
Les quais et les voies de garage du chemin de fer de l'Ouest, dans la
station de Paris, rue Saint-Lazare, sont couverts par une grande char-
pente en tôle, de 40 mètres d'ouverture, couverte en tôle ondulée. Les
différentes pièces de chaque ferme sont composés de tôles de champ,
renforcées par des fers d'angle, de manière à former des doubles T. Une
lame horizontale est ajoutée à ce système dans la partie supérieure ou
dans la partie inférieure, selon la position de la pièce que l'on veut
renforcer.
Les efforts de traction et de compression ont été calculés en suppo-
sant une charge accidentelle de 50 kilogr. par mètre carré, et en ajou-
tant à cette charge un coefficient additionnel de 5 à 6 kilogr. par chaque
millimètre carré de section. On a obtenu ainsi les résultats suivants,
que nous déduisons approximativement d'un tableau où ils sont évalués
en livres anglaises :
1° Tractions ■• Tirant principal. . . . . FC — 70,487". 55
DE — 65,486k.25
AG — 39,810\17
FE — 39,3631.66
GE — 26,477\07
BD, BG — 13,788k.89
2° Compressions: Arbalétrier principal, AC — 75,758\15
Contre-fiches. . . . . DG — 5,202\70
Les fermes, reposant sur des colonnes en fonte, ont été écartées de
8 mètres l'une de l'autre, et sont reliées ensemble par des pannes en
tôle, comme les arbalétriers, et par des fers d'angle placés verticale-
ment. Les fermes, à leur sommet, sont d'ailleurs encore rattachées l'une
avec l'autre par un faîtage en tôle, plus fort que les pannes et renforcé
également par des fers d'angle.
Les colonnes enfin sont contreventées dans le sens longitudinal par
des entablements en fonte à jour, de 8 mètres de long sur 2 mètres de
haut.
Les fermes ont été exécutées dans les ateliers de M. Joly, à Argen-
teuil; elles ont été expédiées, par demi-fermes entièrement assemblées,
au chemin de fer d'Argenteuil, pour être transportées à Paris. Elles ont
été montées au moyen d'un échafaudage disposé de manière à ne pas
interrompre le service de la gare.
Le faîtage, les pannes, les chevrons et la tôle ondulée ont été posés
ensuite sur place.
Voici maintenant le poids des différentes pièces : -—Une ferme entière,
9,037 kilogr.; — Le faîtage entre-fermes, 450 kilogr.; — Une panne,
342 kilogr.
Le poids total des matériaux, pour une surface de 80 mètres de long
sur 40 mètres de large, c'est-à-dire pour 3,200 mètres carrés, compre-
nait 209,471^.15 de fers-et tôle, et 330,514k.69 de fonte.
Les ouvrages en fer furent entrepris par M. Joly,-au prix unique
de 315 fr. les 100 kilogr., tous rivets posés. Le montage seul fut mis
à la charge de la compagnie.
Quant aux fontes, elles furent fournies par M. Estoubon (fonderies
de Mazières et Bourges), au prix de 68 fr. les 100 kilogr. ajustés et
prêts à être montés.
Le prix total de l'ouvrage, y compris la main-d'oeuvre de montage et
les échafaudages, se trouva être ainsi de 993,175 fr. ; ce qui met le prix
du mètre carré à 310r.33. En réduisant les proportions de toutes les
pièces dans un même rapport, on pourra appliquer avantageusement le
même système à des ouvertures de 20, 25, 30 mètres.
S. Caisses à couler le béton.
1855. — PL/MICHE 23.
Nous donnons cette planche pour continuer, dans les Nouvelles An-
nales, la série importante des travaux de fondation, déjà ouverte dans
les livraisons précédentes par un caisson de fondation sur pilotis. Cette
même série sera encore représentée, dans les livraisons prochaines, par
plusieurs articles et planches relatifs à la très-intéressante question des
fondations tubulaires en fonte ou en tôle. A en juger par l'importance
des cas auxquels ce mode de fondation a été appliqué récemment, il
est certain qu'il est appelé au plus grand avenir.
3. Haut pont de Partage dans l'État de KTew-Tork.
1855. — PLANCHE 24.
Réaliser en peu de temps, au moyen d'ouvrages souvent gigan-
tesques, mais de la plus stricte économie, des entreprises importantes;
puis, une fois que ces fécondes entreprises ont porté leurs fruits, reve-
nir sur les premiers travaux faits, et les remplacer par d'autres plus
solides et plus durables au moyen des bénéfices réalisés : tel est le
principe général des travaux américains — telle est la politique in-
variablement suivie parla plupart des ingénieurs de l'autre côté des
mers.
Le pont, dont notre planche représente l'ensemble et les détails, est
un des exemples les plus caractéristiques que l'on puisse citer à l'appui
de ce système. Il n'est pas possible de faire mieux, dans des pays
neufs encore, avec des matériaux primitifs, avec des ressources limitées,
avec des revenus peu considérables à espérer pendant plusieurs années.
Et quoique, en France et en Angleterre, le bois soit généralement
banni des grandes constructions, pour y être remplacé par le fer, la
pierre ou les ciments, nous n'en soutiendrons pas moins le principe des
constructions économiques, pour les premiers temps de beaucoup d'en-
treprises à réaliser, et principalement pour les pays où l'on a sous la
main des forêts considérables : dans.les Vosges, dans les Cévennes, dans
les Landes, dans les Pyrénées, en Auvergne.
4. Locomotives articulées «le MM. Amoirv et Meycr.
Ces locomotives sont caractérisées par deux groupes de roues ma-
trices, indépendants l'un de l'autre et disposés à l'avant et à l'arrière de
la chaudière. Une machine de ce genre est en construction dans les
ateliers de M. Arnoux, et doit être expérimentée incessamment.
En remplaçant chacun des essieux extrêmes par un train mobile à
quatre roues, on aurait une machine américaine à douze roues. Les
quatre roues intermédiaires, motrices et adhérentes, pourraient être
très-chargées par suite de l'installation des tenders sur le châssis.
En allongeant encore la-chaudière, et portant à six le nombre des
roues adhérentes, on obtiendrait sans.doute un moteur bien mieux ap-
proprié aux exigences des fortes pentes et des courbes à petit rayon
que toutes les autres combinaisons déjà essayées, y compris celle de
M. Engerth.
Bibliographie. — Pour plus amples renseignements sur tout ce qui concerne les
nouveaux systèmes de locomotives construits dans ces dernières années, consulter MM. :
C. Couche, ingénieur des mines, professeur à l'École des mines : Des locomotives très-
puissantes, et à petite vitesse (Paris, 1855. V. Dalmont. 3 fr. 50 c.).—Emile Kessler, con-
structeur de machines à Esslingen : Die locomotive der oesterreichischen Staats-Eisenbahn
ueber den Semmering. Stuttgard, 1854. Hering et C*. Brochure grand in-8°. — Organ
fur die fortschritte des Eisenhahn wesens, Edmond ffeusinjer. Wiesbaden. 1 vol. par an.
5. Maisons en fer pour les colonies.
( Civil Engineer and Architectes Journal.)
Les chantiers de bâtiments enfer.de MM. Robertson et Lester, à
Glascow, Holmhead-Street, ont l'aspect d'une petite colonie. Dans cet
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